The Crown
Cette série dramatique retrace les rivalités politiques, intrigues et événements qui ont marqué le règne de la reine Élisabeth II et la seconde moitié du XXe siècle.
Terminée | Américaine, GB, US | Pas de durée |
Drame, Historique, Biopic, Drama | Netflix | 2016 |
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1.08 - Joie et fierté
Pride & Joy
Élisabeth et Philip font un voyage autour du monde qui les épuise. Margaret assure quelques-uns des devoirs officiels de sa sœur et essaie d'y mettre un peu de vie.
Diffusion originale : 04 novembre 2016
Diffusion française :
04 novembre 2016
Réalisat.eur.rice.s :
Philip Martin
Scénariste.s :
Peter Morgan
Guest.s :
Ben Miles
,
Daniel Ings
,
Billy Jenkins
,
Harry Hadden-Paton
,
Lizzy McInnerny
,
James Hillier
,
Will Keen
,
Pip Torrens
,
Andy Sanderson
,
Nicholas Rowe
,
Chris Gordon
,
Richard Clifford
,
Anthony Edridge
,
Thomas Padden
,
Steven Blake
,
Angela Sims
,
Arthur Nightingale
,
John Sackville
,
David Yelland
,
Caroline Goodall
,
John Standing
,
Grant Gillespie
,
Thom Tuck
,
Garry Lake
,
Paul Baker
,
Mike Sengelow
Tous les avis
Avis neutre | Déposé le 23 mai 2018 à 22:13 |
J'ai plutôt bien aimé le début de l'épisode, on voit Elizabeth prendre (enfin) de la stature et s'affirmer, la royauté a l'air (enfin) de servir un peu à quelque chose. Mais dieu que l'opposition des deux soeurs est binaire et manque de subtilité ! Le perosnnage de la princesse Margareth est vraiment écrit avec les pieds. Et la série qui nous fait dans l'hagiographie à travers rien moins que les louanges ridicules de Chruchill, c'est vraiment too much et pas subtil du tout. Bref, comme depuis le début, quand la série illustre des faits historiques elle est plutôt convainquante. Quand elle fait dans l'étude psychologique de personnages et la politique, elle devient terriblement faible. |
Avis favorable | Déposé le 12 novembre 2016 à 15:06 |
Le problème avec les séries basées sur une histoire ou un personnage réels, c'est qu'elles laissent très peu de place à la surprise. Il est en effet très facile d'aller se renseigner sur ce qui s'est passé. Ce qui fait que ce genre de série fonctionne mieux qu'une autre, c'est donc sa capacité à surprendre quand même. On a pu constater, tout au long de cette trop courte saison, que c'est ici réussi brillamment. Plus que (déjà) deux épisodes... |
J'ai bien aimé l'attention portée aux trois femmes de la série, qui ont toutes un rapport plus ou moins différent au pouvoir.
La Reine Mère a peur de cette nouvelle liberté mais y trouve un certain soulagement et une forme de paix. Les scènes sont très jolies et j'ai bien aimé cet air de mélancolie et de douceur.
Margaret voudrait le pouvoir mais elle ne peut accepter les règles qui vont avec. Sa jalousie pour sa sœur la force à en faire toujours plus pour se démarquer et prouver qu'elle a de la valeur vis-à-vis de la couronne.
Elizabeth regrette un peu cette liberté mais a désormais accepté son rôle et l'assume pleinement (ce qui fait plaisir à voir), elle a même peur que sa sœur lui fasse de l'ombre, ce qui crée une ambivalence intéressante.
Après, malgré les très beaux plans et des actrices/acteurs formidables, le scénario est quand même très binaire (comme le dit Altaïr) et manichéen, opposant diamétralement les deux sœurs ce qui enlève toute forme de finesse ou de profondeur à leur relation.